MASSARINI, ROMEO

27 ANS ϟ DATE DE NAISSANCE EXACTE LIBRE ϟ BENEVENTO ϟ STATUT CIVIL LIBRE (mais plus célibataire, veuf ou divorcé)

Mesdames et messieurs, bienvenue dans la vie de Romeo Massarini. Qu'est ce que je raconte ... Bienvenue dans ma vie. Moi c'est Romeo, mais tout le monde m'appelle Romeo (benwai). J'habite dans la belle ville Vérone depuis presque un mois et je dois vous dire que ça me plait bien. Je fais parti des Massarini de Vérone. On dit souvent de moi que je suis têtu, trop protecteur, et hyper jaloux. Mais j'ai aussi des qualités ! Je suis fidèle, doux, intelligent. Et bien, je crois que c'est tout ... Ah non, j'ai presque oublié. Vous ne trouvez pas que je ressemble comme deux goûtes d'eau à Jared Padalecki ?

→ (intrigue principale sur les Massarini et les De Luca à venir prochainement) Vous devez me Mpotter impérativement, car concernant l'histoire, j'ai quelques détails dont je tiens à vous parler.
→ Il est l'aîné d'une famille de six gosses. Deux ans après lui est née Elsa, suivie par Calliopea, Ettore, Dino et Ersilia. Toutefois, lorsqu'il avait dix ans, sa famille (à part Elsa) a été tuée par des ennemis de la mafia italienne. C'est son oncle Giovanni, le frère de sa mère, qui les a récupérés, lui et Elsa. Rapidement Gio, devient comme un père pour Elsa et son frère, si bien qu'ils l'appelaient "Papà" et considéraient leur tante et leurs cousins comme leur mère et frères et sœurs. Ils vivaient donc avec les Castello, mais voyaient souvent les Massarini.
→ Leur père, enfin, Giovanni, était le gérant de la Camorra, la mafia de Naples. Donc, à dix et douze ans pour respectivement Elsa et Romeo, ils quittent leur famille maternelle (trop de dangers) pour la famille paternelle. Romeo le vit moins mal que Elsa, toutefois. Plus tard, Elsa sera mêlée à des querelles de la Camorra, mais Romeo a toujours préféré en rester loin.
→ À propos des Massarini : famille qui a participé à la construction de Vérone, mais qui a été chassée par les Capulet les Montague il y a fort longtemps (vers le mythe de Romeo et Juliette - en gros, il trouve cela assez ironique, son prénom, Romeo étant un Montague à la base, donc quand il se présente, il a en général un sourire ironique sur les lèvres). Il est très impliqué dans cette guerre, car les Massarini décident de reprendre le pouvoir à Vérone et de venir.
→ C'est un mec hyper bien, hyper droit (métier au choix, mais je le vois bien dans un cabinet d'avocats avec sa sœur). Souriant comme tout, gentil, à l'écoute. Un peu honteux quand même, face à son prénom et il est surdoué mais le vit mal. C'est un gentil mec, mais il a tendance à se laisser emporter par sa sœur, mais au final, il lui dit ; « Démerde toi pour te sortir de tes galères, Elsa » Mais il est très jaloux, têtu, curieux et voir trop protecteur, surtout quand il s'agit d'Elsa.

HE GOT THAT SUPER BASS

big bro' et lil' siter
Elsa, c'est un peu la Juliette à Romeo, comme il s'amuse à l'appeler. Ils sont très proches depuis toujours, Romeo ayant juré de protéger Elsa quoiqu'il arrive. Ils avaient leurs habitudes, leurs petits rituels. Comme aller en douce, en pleine nuit, à la cave, chercher des glaces et les bouffer tout en parlant de tout et de rien.. C'est ça qui les a sauvé, d'ailleurs. Leur famille est très impliquée dans la Camorra, donc leur famille a été détruite. C'est leur oncle (du côté maternel) qui les récupère. Ce drame a resserré les rangs des Massarini, alors qu'ils allaient chez leur oncle, encore plus impliqué que leurs parents dans la mafia. Inséparables, bien que leurs disputes soient parfois violentes mais guère longues, ils étaient toujours fourrés ensemble. Il n'a que deux ans de plus qu'elle. Ils sont quasi inséparables encore aujourd'hui, vivants toujours ensemble malgré leur âge de plus en plus avancé. Il a toujours été là pour elle, un grand-frère digne de ce nom. Lorsqu'ils eurent dix et douze ans, leur oncle les mit chez les Massarini, leur situation devenant de plus en plus dangereuse. Elsa, très proche de lui, l'a très mal vécu et Romeo était là pour elle. Mais dès qu'elle eut quinze ans, elle reprit contact avec leur oncle, et bim, elle se retrouva impliquée dans la mafia. Il essaya de la sortir de là, la sortit de quelques mauvais coups, mais, deux ans plus tard, il en eu marre et lui fit bien comprendre qu'il abandonnait dans ses galères. Mais il restait là pour elle en même temps, si bien qu'ils étaient inséparables bien que le sujet de la Camorra et de leur oncle était tabou.
(ce qui s'est passé ensuite, tout est dans ma fiche, mais je vous cale les extraits ici:)

« Les Capulet et les Montague sont des sales fils de putes. Ils vont voir ce qu'ils vont voir. »
Je déboulais, essoufflée, dans le salon de la grande villa familiale qui dominait, haute sur une grande colline, Benevento. Je rangeai mon flingue dans mon dos, coincé dans mon soutien-gorge, seul endroit franchement discret, camouflé par ma veste en cuir d'un brun clair à manches trois quart. Je sentais le regard de Romeo peser sur moi. « Je.. Je dois partir! Et vite! J'ai raté quoi? » Dis-je précipitamment, commençant à remballer des affaires à moi traînant-là. Toute la famille était réunie. Manquait que moi à l'appel. Évidemment. Je m'étais laissée entraînée dans de sales coups de la Camorra. Et ils en avaient contre moi! Et oui, la fille de Don Giovanni était poursuivie. Je devais partir, et vite! Il suffisait d'une faille dans la protection de mon oncle pour que je me retrouve.. Morte. « Tu tombes à pic, Elsa. On part pour Vérone ; on a décidé de s'imposer. Et s'ils veulent la guerre.. On sait que t'es la meilleure dans cette matière. » Me répondit mon frère, ironique. Je m'arrêtai, me redressai. Oh! Ça tombait ouais, vraiment à pic. Bordel, l'heure de la vengeance avait sonné. « Putain, merde, mais qu'est ce qu'on attend?! »

« Don Giovanni est tombé! » Un cri de souffrance était sortit de ma bouche et mes jambes avait fléchit. La douleur dans ma poitrine était monstrueuse, et mon cœur battait à tout rompre, tandis que mes oreilles se mirent à siffler et que mes yeux se brouillaient de larmes. Romeo me leva immédiatement, me tenant les bras, bien derrière moi et bien décidé à me faire tenir debout, parce que là, notre vie était en danger et j'étais la seule armée et qui savait me servir d'une arme. La famille était partie, camions, voitures, et la villa Massarini était déserte. Nous étions trois dans le grand vide de glace qu'était le salon. Chaque bruit, chaque pas, résonnait comme jamais. Je me mis à sangloter. « Tu croyais t'en sortir comme ça, Elsa? Non. On va vous tuer tous les deux, toi et ton frère. » J'avais l'impression d'avoir la tête sous l'eau. C'était affreux. Là, c'était mon frère qu'il menaçait. Je voyais rouge, littéralement. C'était un drôle de mélange. Perdre notre modèle en tant qu'homme et voir la seule chose qui nous tient debout -à ce moment là, autant au sens propre que figuré- menacée de mort, c'était pas bon. « T'es qu'une pute. » Je lui crachai au visage, sachant pertinemment ce qu'il m'attendait. Luigi planta son arme sur mon front, prêt à tirer. Je portai une main à ma ceinture, mais je ne sentais plus mon arme. La panique montait. Shit, le seul truc de bien que je savais faire.. Romeo m'avait lâché, et sans réellement comprendre, mon instinct m'indiqua de mettre ma main dans mon dos. Aussitôt, mon frère me fila discrètement mon flingue. Je le remerciai d'un discret et rapide coup de tête, lui faisant comprendre que dès que j'aurai fait ce que j'avais à faire, il fallait courir. Y avait sûrement d'autres fils de putes autour de la maison. Ma main se leva et, le coup partit comme tout seul. « Putain, merde, cours plus vite Rom! » TWO WEEKS LATER. « Je veux pas que Salvatore soit impliqué dans ce bordel, c'est tout. » Je soupirai, regardai mon frère. Mon fiancé était très bien là où il était, même si y avait la Camorra qui me cherchait sûrement. Romeo abandonna l'idée de me faire appeler Salva' pour l'amener ici. Et puis.. Peut-être que c'était pas plus mal comme ça! « Tu crois que la police en a après nous? » Je me recroquevillai dans le canapé, mes jambes ramenées vers moi, le menton posé sur mes genoux. Luigi était mort, sans aucun doute. La balle lui était arrivée en plein dans le poumon, il n'aurait pas pu s'en sortir.. Je me sentis tellement.. Pas coupable, non. Il l'avait mérité. J'étais certaine que c'était ce connard qui avait descendu mon oncle.. Et sûrement mes parents des années plus tôt. Mais l'idée d'arracher la vie une seconde fois.. J'avais déjà tué. Un homme, un innocent, qui s'était retrouvé, comme moi, en plein milieu d'une bagarre. Une balle mal tirée, et c'était fait. J'avais dix-sept ans, bordel. « Les connaissant, ils ont dû faire le ménage. » Romeo soupira, puis, s'installa à côté de moi et je me réfugiai dans ses bras.